Il faut un temps
Pour arriver enfin,
A dire,
L’absence.
Il faut du temps
Pour arriver enfin,
A écrire,
L’envie.
Il faut le courage
Pour arriver enfin,
A s’avouer,
le manque.
Il faut l’espoir
Pour arriver enfin,
A colorer,
Sa vie.
Il faut l’amitié
Pour arriver enfin ,
A comprendre,
L’autre.
Il faut la passion
Pour arriver enfin,
A vivre,
A l’unisson.
Il faut des rêves
Pour arriver enfin,
Jusqu’à lui.
mercredi 28 février 2007
mardi 27 février 2007
Aux lecteurs avertis (2006)
Ecrire, saisir les mots au vol
Avant qu’ils ne s’échappent.
Ecrire les secrets de l’ âme,
les livrer pied et poings liés,
C’est aussi crier la révolte
C’est aussi construire du sens
Là où il n’y a
Que routine et contraintes.
Etre lu , c’est réaliser l’écrit,
C’est l’enfanter, lui donner la vie.
C’est le pouvoir de chacun, la puissance suprême.
Sans lecteur l’écriture est stérile,
Quelle joie de penser aux lecteurs avertis
Penché sur la feuille,
Sans lunette de surcroît !
Ecrire, c’est dire la soif d’aventure
De premières, de puits insondables,
De rivières fougueuses ou dociles
De parcours souterrains toujours plus longs,
Les chaînes se brisent.
Jouer avec les mots
Sentir leurs forces
et leurs multiples facettes,
j’ai envie de liberté,
ami(e) lecteur(trice),
j’ai envie d’écrire
la force du vouloir
les cascades de rires
les gours de l’espérance,
les mille et une ruses
de la mante religieuse.
L’étonnement de son come-back.
De ses messages.
Coup de cœur, cœur à cœur
Corps à corps.
Corps à cœur, telle une chimère
Il l’obsède.
Amour à cœur.
Ami(e) lecteur(trice)
Sens-tu
Le parfum de cette fleur en l’hiver éclose ?
Just now.
Annick Duplessis
Avant qu’ils ne s’échappent.
Ecrire les secrets de l’ âme,
les livrer pied et poings liés,
C’est aussi crier la révolte
C’est aussi construire du sens
Là où il n’y a
Que routine et contraintes.
Etre lu , c’est réaliser l’écrit,
C’est l’enfanter, lui donner la vie.
C’est le pouvoir de chacun, la puissance suprême.
Sans lecteur l’écriture est stérile,
Quelle joie de penser aux lecteurs avertis
Penché sur la feuille,
Sans lunette de surcroît !
Ecrire, c’est dire la soif d’aventure
De premières, de puits insondables,
De rivières fougueuses ou dociles
De parcours souterrains toujours plus longs,
Les chaînes se brisent.
Jouer avec les mots
Sentir leurs forces
et leurs multiples facettes,
j’ai envie de liberté,
ami(e) lecteur(trice),
j’ai envie d’écrire
la force du vouloir
les cascades de rires
les gours de l’espérance,
les mille et une ruses
de la mante religieuse.
L’étonnement de son come-back.
De ses messages.
Coup de cœur, cœur à cœur
Corps à corps.
Corps à cœur, telle une chimère
Il l’obsède.
Amour à cœur.
Ami(e) lecteur(trice)
Sens-tu
Le parfum de cette fleur en l’hiver éclose ?
Just now.
Annick Duplessis
Etampes (1976)
lundi 26 février 2007
un poème en ligne de Raymond Queneau
Bien placés bien choisis
Quelques mots font une poésie
les mots il suffit qu'on les aime
pour écrire un poème
On sait pas toujours ce qu'on dit
Lorsque naît la poésie
Faut encore rechercher le thème
Pour intituler le poème
Mais d'autres fois on pleure on rit
En écrivant la poésie
ça toujours kekchose d'extrême
Un poème
Raymond QUENEAU
si tu t'imagines - Gallimard
Quelques mots font une poésie
les mots il suffit qu'on les aime
pour écrire un poème
On sait pas toujours ce qu'on dit
Lorsque naît la poésie
Faut encore rechercher le thème
Pour intituler le poème
Mais d'autres fois on pleure on rit
En écrivant la poésie
ça toujours kekchose d'extrême
Un poème
Raymond QUENEAU
si tu t'imagines - Gallimard
samedi 24 février 2007
L’amour fugitif
Tu es l’amour hors la loi,
Citadelle imprenable,
Tu règnes sur les terres grises et rouges,
Le soleil est là,
Les arbres sont hauts.
Je traverse une forêt
pour venir jusqu’à toi.
Tu es le rêve retrouvé
Le quotidien transcendé
Les liens d’une autre vie
Se renouent.
Tu es niché dans un creux
De ma mémoire.
Ressurgi du passé.
Tu assailles mon esprit.
Tu accompagnes mes jours.
Je ris de ton ardeur.
Je veux ta saveur.
L’amour enfante les mots.
Je veux te parler, je veux crier
La légèreté de mon cœur,
De ces jours heureux.
Aux douces pensées retrouvées.
Ce cœur meurtri par tant de souffrances s’étonne
De tes paroles douces et profondes
De tes attentions d’un autre monde.
De tes mots caresses.
Où est le fougueux cavalier ?
Il attend l’heure.
Il prépare la couche nuptiale.
Le vent s’engouffre dans les arbres.
Les oiseaux chantent la vie.
La salsepareille envahit l’espace.
Et toi, tu luttes vaillamment
Paroles enivrantes où vouloir et pouvoir
Cohabitent dans un même univers.
Les pensées s’envolent, le calme règne.
Douceur et rêverie de l’attente.
Les désirs se creusent, l’appel de la vie est en toi.
Et moi, je l’entends.
Il m’attire et m’entraîne
Vers toi.
Baby.
Annick Duplessis
Citadelle imprenable,
Tu règnes sur les terres grises et rouges,
Le soleil est là,
Les arbres sont hauts.
Je traverse une forêt
pour venir jusqu’à toi.
Tu es le rêve retrouvé
Le quotidien transcendé
Les liens d’une autre vie
Se renouent.
Tu es niché dans un creux
De ma mémoire.
Ressurgi du passé.
Tu assailles mon esprit.
Tu accompagnes mes jours.
Je ris de ton ardeur.
Je veux ta saveur.
L’amour enfante les mots.
Je veux te parler, je veux crier
La légèreté de mon cœur,
De ces jours heureux.
Aux douces pensées retrouvées.
Ce cœur meurtri par tant de souffrances s’étonne
De tes paroles douces et profondes
De tes attentions d’un autre monde.
De tes mots caresses.
Où est le fougueux cavalier ?
Il attend l’heure.
Il prépare la couche nuptiale.
Le vent s’engouffre dans les arbres.
Les oiseaux chantent la vie.
La salsepareille envahit l’espace.
Et toi, tu luttes vaillamment
Paroles enivrantes où vouloir et pouvoir
Cohabitent dans un même univers.
Les pensées s’envolent, le calme règne.
Douceur et rêverie de l’attente.
Les désirs se creusent, l’appel de la vie est en toi.
Et moi, je l’entends.
Il m’attire et m’entraîne
Vers toi.
Baby.
Annick Duplessis
vendredi 23 février 2007
Dieu
Vingt dieux, vint dieu
vains dieux, à dieu va
du vin dieu
nom de dieu,
crée, nom de dieu
crédits eux
saint dieu
ceint les biens
saint dieu
elle vit dieu lui sourire
archi-dieu
vient dieu
eh doux dieu
eh, d’où dieu tu viens ?
crénom de non
crée toi un nom
crédieu
le gourou, gros gourou
tu te crois le dieu
et tu vis bien gourou
et la misère et la faim connaît
gros dieu, gras dieu
de gourou
vains dieux, à dieu va
du vin dieu
nom de dieu,
crée, nom de dieu
crédits eux
saint dieu
ceint les biens
saint dieu
elle vit dieu lui sourire
archi-dieu
vient dieu
eh doux dieu
eh, d’où dieu tu viens ?
crénom de non
crée toi un nom
crédieu
le gourou, gros gourou
tu te crois le dieu
et tu vis bien gourou
et la misère et la faim connaît
gros dieu, gras dieu
de gourou
Annick Duplessis
jeudi 22 février 2007
Terre des femmes (poème publié en 1983)
Dire un désir
sans nom de tendresse
sans autre nom d’une autre vie
sans nom de liberté
sans nom de tes lèvres
sans nom de tes mains.
Criante la douleur
se tordent les mains blessées
en pluies fines
dans le sable
se perdent.
Reste le désir des mots
qui flotte dans l’air
en brises légères
dans la circonférence maximale
la foule l’acclame
en terre des femmes.
sans nom de tendresse
sans autre nom d’une autre vie
sans nom de liberté
sans nom de tes lèvres
sans nom de tes mains.
Criante la douleur
se tordent les mains blessées
en pluies fines
dans le sable
se perdent.
Reste le désir des mots
qui flotte dans l’air
en brises légères
dans la circonférence maximale
la foule l’acclame
en terre des femmes.
mardi 20 février 2007
Chez Louise (1)
Vers Paris tu t’en vas
Le train te mène à grande vitesse
Vers les lieux de ton enfance
Chez Louise retrouvée
Pour trois petits jours.
Dans son sweet home
A Chatenay-Malabry
Tu l’emmènes avec toi,
passager clandestin.
Ami ou Alien ?
Tu trembles et tu soupires
Tu doutes et tu espères.
Spleen et dérives
Univers poétique pour dire les songes,
Sur les chemins de l’envie.
Dire en filigrane
les mots de ta vie
dire ton cœur,
hors du quotidien
la boussole de ta vie s’affole,
tu la déroutes
Il t’est familier
Tu le connais mais d’où ?
-« Ne dis pas ouais »
Louise te l’a souvent dit.
Les rires ont fusé
Au Cèdre du Liban
D’abord rue Falguière,
Puis rue de Vaugirard,
Puis en bas de l’avenue du Maine
Dans la froideur du soir
Les amies retrouvées
Se racontent.
La joie forte règne.
Qu’ils sont doux ces moments arrêtés
Dans le temps de la vie.
Qu’ils comptent pour toi.
Mais un écho te murmure à l’ oreille
-« Toi et moi ça m’intéresse »
Alors tu fonds comme la neige au soleil
Et tu craques
Help !
[1] Voyage à Paris début mars 06 pour aller voir Louise
Le train te mène à grande vitesse
Vers les lieux de ton enfance
Chez Louise retrouvée
Pour trois petits jours.
Dans son sweet home
A Chatenay-Malabry
Tu l’emmènes avec toi,
passager clandestin.
Ami ou Alien ?
Tu trembles et tu soupires
Tu doutes et tu espères.
Spleen et dérives
Univers poétique pour dire les songes,
Sur les chemins de l’envie.
Dire en filigrane
les mots de ta vie
dire ton cœur,
hors du quotidien
la boussole de ta vie s’affole,
tu la déroutes
Il t’est familier
Tu le connais mais d’où ?
-« Ne dis pas ouais »
Louise te l’a souvent dit.
Les rires ont fusé
Au Cèdre du Liban
D’abord rue Falguière,
Puis rue de Vaugirard,
Puis en bas de l’avenue du Maine
Dans la froideur du soir
Les amies retrouvées
Se racontent.
La joie forte règne.
Qu’ils sont doux ces moments arrêtés
Dans le temps de la vie.
Qu’ils comptent pour toi.
Mais un écho te murmure à l’ oreille
-« Toi et moi ça m’intéresse »
Alors tu fonds comme la neige au soleil
Et tu craques
Help !
[1] Voyage à Paris début mars 06 pour aller voir Louise
La louve
Quand la nuit est noire
La louve sort du bois
Et appelle le loup
Pleine lune, pleine louve
Le ballet de l’amour la prend
Toute entière
Elle attend le loup
qui se tend
la louve s’abandonne
mais elle est seule
le loup tourne en rond
dans sa cage dorée
son corps à cran
la louve est ondulante
affamée et pensive
son corps transpire
mais le loup est loin
enfin, il monte sur la colline
et hurle à la louve pleine
son message.
La louve sort du bois
Et appelle le loup
Pleine lune, pleine louve
Le ballet de l’amour la prend
Toute entière
Elle attend le loup
qui se tend
la louve s’abandonne
mais elle est seule
le loup tourne en rond
dans sa cage dorée
son corps à cran
la louve est ondulante
affamée et pensive
son corps transpire
mais le loup est loin
enfin, il monte sur la colline
et hurle à la louve pleine
son message.
Le Boogie Woogie du Balai
Tombes wisigothiques,
habitats néolithiques,
toujours de l’avant, attention au tournant,
que tous les passagers se rassemblent
pour le voyage.
Un crayon pour les rêves,
et de la confiture sur les tartines.
Femmes, plus de sacrifices ;
nous avons bouté les féroces hors des quartiers.
Synthésia, elle, a trouvé son autre aile,
elle, fi donc Eve.
La jouissance creuse le désir,
fenêtre sur le riz fifi,
trois fois tous les deux jours
des sardines de bénitier,
kidnapping dans le congélo,
produit leader, marché porteur,
vin dieu, horreur et putréfaction
musique douce, ambiance, ambiance,
du rififi dans la cuisine,
dialogues, tribunes sculptures poubelles,
dans l’inter espace vogue à la dérive
le rafiot.
Bruits de casserole,
détonateurs.
Grenache servi sur petite table, court circuit
une équipe efficiente s’active
Quel est le programme pour aujourd’hui ?
qui, fait la vaisselle ?marteau,
qui, lave le sol ? puissance,
qui, repasse ? explosion ;
Enfin, chacun de ces messieurs hautement qualifié
s’active à rendre plus agréable la vie à ces dames
qui pensent au mille et une façons
de renverser les habitudes,
le grand pied quôah !
D’entendre le doux bzz, bzz de tous ces ménagers
qui louent leur service
au SMIC
mais attention, avec diplômes
d’employé de collectivités
enfin les rôles changent
au théâtre.
habitats néolithiques,
toujours de l’avant, attention au tournant,
que tous les passagers se rassemblent
pour le voyage.
Un crayon pour les rêves,
et de la confiture sur les tartines.
Femmes, plus de sacrifices ;
nous avons bouté les féroces hors des quartiers.
Synthésia, elle, a trouvé son autre aile,
elle, fi donc Eve.
La jouissance creuse le désir,
fenêtre sur le riz fifi,
trois fois tous les deux jours
des sardines de bénitier,
kidnapping dans le congélo,
produit leader, marché porteur,
vin dieu, horreur et putréfaction
musique douce, ambiance, ambiance,
du rififi dans la cuisine,
dialogues, tribunes sculptures poubelles,
dans l’inter espace vogue à la dérive
le rafiot.
Bruits de casserole,
détonateurs.
Grenache servi sur petite table, court circuit
une équipe efficiente s’active
Quel est le programme pour aujourd’hui ?
qui, fait la vaisselle ?marteau,
qui, lave le sol ? puissance,
qui, repasse ? explosion ;
Enfin, chacun de ces messieurs hautement qualifié
s’active à rendre plus agréable la vie à ces dames
qui pensent au mille et une façons
de renverser les habitudes,
le grand pied quôah !
D’entendre le doux bzz, bzz de tous ces ménagers
qui louent leur service
au SMIC
mais attention, avec diplômes
d’employé de collectivités
enfin les rôles changent
au théâtre.
dimanche 18 février 2007
Choux, carottes et poireaux
Choux, carottes et poireaux
terre humide
vert de jade
bleu d’azur
choux, carottes et poireaux
terre de sienne
vert de pomme
bleu ara
choux, carottes et poireaux
terre de verre
vert de gris
bleu de presse
choux, carottes et poireaux
terre en terre
bleu de bleu
choux, carottes et poireaux
terre à terre
verre à verre
bleu gauloise
choux, carottes et poireaux
écocinétique
sur un sol en plastique
choux, carottes et poireaux, croissez.
vendredi 16 février 2007
Blogui-Blogga
Pas facile de bloguer!
mon premier fût créé par un élève
expert en la matière sur mon mobile,
j'ai essayé: quelle galère pour écrire deux mots.
Mais, du virus je fus atteinte!
de loin et de très loin je préfère la feuille virtuelle de blogger.com
Après avoir cherché et cherché en solo sur plusieurs sites ;
Le vôtre était sans doute plus adapté à ma tournure de pensée.
Mais ce n'est pas gagné. car une atmosphère ,
aimerais créer avec de la couleur et des dessins,
c'est une autre histoire à suivre...
Romance
Elle a envie
Vie d’une romance
Qui se rapproche de son univers
Le passé devient futur
Son cœur est joie
Elle se ressaisit et entend sa voix
Murmurer dans le vent froid de l’hiver
Les mots doux de l’été brulant.
Etonnement de l’instant,
Elle craque et l’appelle de ses vœux
Elle sent le jour proche
L’instant de la rencontre
Elle ré écrit l’histoire
Dans le ciel et dans le feu
De ses désirs enfouis
Pour oublier le chagrin
les absences.
Elle aime ses mystères,
ses secrets
fait de miel et de rires
de jeux et de rêveries
elle se plait à lire et à relire
cette romance
Fusion.
Vie d’une romance
Qui se rapproche de son univers
Le passé devient futur
Son cœur est joie
Elle se ressaisit et entend sa voix
Murmurer dans le vent froid de l’hiver
Les mots doux de l’été brulant.
Etonnement de l’instant,
Elle craque et l’appelle de ses vœux
Elle sent le jour proche
L’instant de la rencontre
Elle ré écrit l’histoire
Dans le ciel et dans le feu
De ses désirs enfouis
Pour oublier le chagrin
les absences.
Elle aime ses mystères,
ses secrets
fait de miel et de rires
de jeux et de rêveries
elle se plait à lire et à relire
cette romance
Fusion.
La forêt
Eau riante
chantante,
tu scintilles sous le soleil
tu dévales les pentes
tu cours sur les galets
tu cascades
en rideau
de pluie
fraîche et douce
tu nous mènes à elle
la rivière souterraine
que l’on espère
fougères exubérantes
monde minéral
couvert végétal
peuplé d’habitants pacifiques
qui tolèrent notre présence.
Ici, tout n’est que foisonnement,
fraîcheur et
Sensualité .
La forêt nous donne
Son énergie,
Sa beauté
Et ses risques.
Elle nous délivre du quotidien
Et nous conte ses secrets
Passions souterraines
Falaises abruptes
Saura-t-elle découvrir
Le chemin
Qui mène à lui ?
Au génie de la forêt
That she feels him inside her.
chantante,
tu scintilles sous le soleil
tu dévales les pentes
tu cours sur les galets
tu cascades
en rideau
de pluie
fraîche et douce
tu nous mènes à elle
la rivière souterraine
que l’on espère
fougères exubérantes
monde minéral
couvert végétal
peuplé d’habitants pacifiques
qui tolèrent notre présence.
Ici, tout n’est que foisonnement,
fraîcheur et
Sensualité .
La forêt nous donne
Son énergie,
Sa beauté
Et ses risques.
Elle nous délivre du quotidien
Et nous conte ses secrets
Passions souterraines
Falaises abruptes
Saura-t-elle découvrir
Le chemin
Qui mène à lui ?
Au génie de la forêt
That she feels him inside her.
Cœur partagé
Les désirs inassouvis broient son cœur
Partagé, coupé
Impuissance de dire
Le mal être des jours
Entre le nord et le sud
Entre l’est et l’ouest
Les directions se brouillent
Cœur noué, serré
Elle a mal
Le mal être d’une histoire impossible
Impasse des tristesses
A refouler.
Grain de sable dans le rouage
Des jours.
Fièvre ardente, le mal de vivre
Revient de loin.
Deux pour un
Tu le sais.
Se cachent.
Elle bloque,
Elle attend.
Partagé, coupé
Impuissance de dire
Le mal être des jours
Entre le nord et le sud
Entre l’est et l’ouest
Les directions se brouillent
Cœur noué, serré
Elle a mal
Le mal être d’une histoire impossible
Impasse des tristesses
A refouler.
Grain de sable dans le rouage
Des jours.
Fièvre ardente, le mal de vivre
Revient de loin.
Deux pour un
Tu le sais.
Se cachent.
Elle bloque,
Elle attend.
Saint-Valentin
Elle aimerait recevoir
Un colis
Avec dedans
Des milliers de désirs,
Des baisers
Des caresses
D’un amour ancien
Débutant.
Une envie
Forte de retrouver
L’insouciance d’une nuit
Interminable
Sous les coups redoublés
De l’ardeur amoureuse
Inassouvie
Et gourmande.
Pour retrouver cet émoi
Des retrouvailles tardives.
Qu’elle est douce et folle
Cette pensée.
Elle envoie en retour
Désirs et fictions
Fantasmes et plaisirs
Au fantasque chevalier
De son cœur.
You love me. Do you ?
jeudi 15 février 2007
A Lou et à tous les visiteurs potentiels
A Lou , lectrice fidèle et à tous les visiteurs potentiels à venir
Que c'est difficile!!!
j'ai réussi à créer
un autre blog
avec la nouvelle version
après maint
et maint détours
galère de galère!!!
il est tard
le petit lapin
ne dort pas
suis contente car
suis sortie du bug
pas complètement
out
la nana
demain, je supprime le blog ancienne version
et, à nous
la bloguimania
on s'enthousiasme
c'est génial et très ludique
mais, on veut des lecteurs et des lectrices
Alors va falloir,
les trouver
pour donner notre prose
à lire
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