Vers Paris tu t’en vas
Le train te mène à grande vitesse
Vers les lieux de ton enfance
Chez Louise retrouvée
Pour trois petits jours.
Dans son sweet home
A Chatenay-Malabry
Tu l’emmènes avec toi,
passager clandestin.
Ami ou Alien ?
Tu trembles et tu soupires
Tu doutes et tu espères.
Spleen et dérives
Univers poétique pour dire les songes,
Sur les chemins de l’envie.
Dire en filigrane
les mots de ta vie
dire ton cœur,
hors du quotidien
la boussole de ta vie s’affole,
tu la déroutes
Il t’est familier
Tu le connais mais d’où ?
-« Ne dis pas ouais »
Louise te l’a souvent dit.
Les rires ont fusé
Au Cèdre du Liban
D’abord rue Falguière,
Puis rue de Vaugirard,
Puis en bas de l’avenue du Maine
Dans la froideur du soir
Les amies retrouvées
Se racontent.
La joie forte règne.
Qu’ils sont doux ces moments arrêtés
Dans le temps de la vie.
Qu’ils comptent pour toi.
Mais un écho te murmure à l’ oreille
-« Toi et moi ça m’intéresse »
Alors tu fonds comme la neige au soleil
Et tu craques
Help !
[1] Voyage à Paris début mars 06 pour aller voir Louise
mardi 20 février 2007
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