dans ce jardin
des ombres passent,
la douleur s'efface
terrassée
par l'esprit fraternel
des esprits qui se joignent
de sa main qui empoigne
de ses yeux qui implorent
et qui pleurent
on attend notre heure
pour ce grand malheur
on ne laissera pas
le doute s'installer
on ira l'aider
dans ce jardin
où la vie s'écoule
à l'envers de nos coeurs
loin du bonheur
crève coeur
et douleur
qu'il est loin
le temps de notre enfance
petite soeur.
samedi 23 juin 2007
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